Libération 01/2018 : Violences faites aux femmes : faut-il parler d'«accusatrices» ou de «victimes
Interview : "Un sentiment partagé par Carine Diebolt, avocate spécialisée dans le droit des victimes : «Lorsque je discute avec mes clientes, elles n’apprécient pas le terme de victime qui les enlise dans ce statut alors qu’elles essaient de relever la tête. Elles ont le sentiment de subir une situation.» En lire plus