La Croix. Ma participation à l'article : Des crimes jugés sans jurés populaires
..." Avocate à Paris, Me Carine Durrieu-Diébolt a, depuis septembre, défendu deux victimes de viols devant une cour criminelle à Versailles et Bourges. « Honnêtement, je n’ai pas constaté de différence majeure avec les assises, explique-t-elle. Dans les deux affaires, on a eu deux jours de débats, très denses, où tous les experts ont déposé. Les victimes que je défendais ont été longuement entendues. Et au final, les peines prononcées avaient sensiblement la même sévérité que devant la cour d’assises. »